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Atelier Papier d'ART

~ Tout sur le papier artisanal

Atelier Papier d'ART

Archives de Catégorie: recherche de sens

Ma maison et moi

24 samedi Déc 2016

Posted by Atelier Papier d'ART in philosophie, recherche de sens

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convalescence, corps, vie quotidienne

neigeMa maison me protège. Je l’habite depuis plusieurs décennies. Elle  est modeste. Elle fait partie d’un lot d’habitations construites par le gouvernement pour les vétérans de la dernière grande guerre. Elle a un étage et demi. Pas vraiment sur la coche. Comme moi. Avec  l’aide des amis et des personnes avec qui je l’ai partagée, nous l’avons retapée. Je lui ai souvent faussé compagnie à cause de mon travail et de mes nombreux voyages. Elle ne paie pas de mine  mais son intérieur me convient et me ressemble. J’ai dû me battre pour conserver l’intégralité de son terrain de même que pour conserver ma santé. Elle besoin d’un entretien minimal autant que constant.

Récemment, j’ai été maintenue en convalescence chez moi, chez elle. J’avais perdu confiance en mon corps et vécu beaucoup de tristesse en devant renoncer définitivement à tous mes  sports préférés. Ce matin, de la fenêtre donnant sur mon jardin d’hiver, je regardais la neige  tomber.  J’ai revécu la même sensation admirative   que du haut de la montagne avant de dévaler une piste de ski. Sentiment à la fois de finitude et de complétude  propre à l’état contemplatif. Un instant hors du temps.  Ma maison est toujours debout et moi je suis encore vivante.

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Espérance de vie

01 jeudi Sep 2016

Posted by Atelier Papier d'ART in philosophie, recherche de sens

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philosophie, temps

sablierEntre vivre comme si nous allions mourir demain et vivre comme si nous étions éternels, il existe un entre-deux. C’est imaginer que nous allons vivre encore cent ou deux cents ans. Cela change notre comportement. Commencer une tâche dont les résultats se verront seulement dans une décennie ne nous rebute plus. Les petites corvées n’en sont plus lorsque nous prenons le temps de savourer chaque instant par notre présence au monde. On s’arrange pour faire ce qu’on aime le plus souvent possible. La quête d’une paix intérieure se transforme en accueil lorsqu’on s’adonne de plus en plus à ce qu’on aime. Comme disait le Comte de Bussy : « Quand on n’a pas ce que l’on aime, il faut aimer ce que l’on a ». Notre continuelle recherche de sens s’en trouve comblée.

Temps morts

12 lundi Oct 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in philosophie, recherche de sens

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fuite, philosophie, temps

lueurSouvent ce qui est dit n’a aucune importance sauf pour qui appartient la bouche. Le bavard cache son anxiété sous un flot de parole. Forme de divertissement qui lui évite les moments creux. Vivre par procuration est le mode de vie de l’homme moderne. Il n’y a pas si longtemps, lire un magazine dans une salle d’attente était un moyen d’éviter l’inaction. Maintenant, il fuit par en avant entouré d’écrans. L’illusion est devenue omniprésente. Chaque jour a besoin de sa dose de temps morts. Ne serait-ce que pour décrocher et apprécier chaque détail donnant un sens à notre vie. Faire taire le brouhaha mondain et le bavardage incessant de la pensée pour vivre la joie d’exister. Le silence actif et créatif améliore les relations humaines. Héraclite dit : « Ne sachant pas écouter, ils ne savent pas parler. » Le sigophile en fait une philosophie de vie. Cette recherche de la simplicité du non-faire se retrouve dans toute forme d’art et de sagesse. Non pas un néant devant la page blanche mais un moment de contemplation avant d’écrire. Pensons au haïku. Pourquoi vouloir tout dire ?

Les temps morts que fuyons tous à grands coups d’activisme remettent les pendules à l’heure.

Peut-on changer de vie ?

21 dimanche Juin 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, philosophie, recherche de sens

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corps, fatigue décisionnelle, liberté, temps

mystèreMaladie. accident grave, rupture, héritage ou gros lot de Loto-Québec, voilà des imprévus qui peuvent ouvrir une porte à un changement de vie. Peut-être pas. Ça dépend de notre faculté à changer d’attitude. Il y a plusieurs années, une première convalescence m’a permis de transformer ma quête en accueil. Ce fut un point tournant dans l’écoulement de mes jours et surtout de mes nuits peuplées d’épisodes insomniaques. Le temps passait dans la lenteur et la paix. Le monde extérieur me semblait s’éloigner avec son agitation. Tout passait par le corps. Mises entre parenthèses de mon travail, du ski, du vélo et des longues randonnées jusqu’au tremblement des jambes. Puis, la guérison arriva. Ce fut l’occasion de donner plus d’ampleur à ma carrière artistique, qui, jusque là, se jumelait à un emploi à temps plein dans le monde de l’éducation. Je ne pouvais plus cumuler les deux.  Mon entreprise, l’Atelier Papier d’ART, devint ma principale activité. Une brèche s’ouvrait dans mon emploi du temps. Je devins intervenante en situation d’urgence, je repris mes activités sportives avec plus de fougue et j’augmentai la fréquence de mes escapades vers d’autres cieux.

Et voilà que ce coup du sort récidive. Cette fois, la mise entre parenthèses sera définitive. Je réoriente encore ma vie. Un beau matin, je prends conscience que la  responsabilité de ce qui m’arrive s’est muée en réceptivité. Ce qui consiste à être prête à saisir les opportunités qui en découlent et toute la nouveauté qui s’y rattache. Pour le moment je laisse le corps me guider. C’est une période de EMC. Une rupture dans l’histoire de mon identité. Se pointe déjà un autre sens de l’existence. Je n’ai pas besoin de disparaître sans laisser de traces pour refaire ma vie ailleurs. Ma principale liberté se trouve ici dans une plage de temps solitaire que je me réserve pour reprendre mon souffle.

« La vraie affaire »

29 vendredi Mai 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, philosophie, recherche de sens

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éducation, choix, liberté

1 et 0Que nous parlions de recettes de cuisine, de méthodologie du travail intellectuel, de techniques de psychothérapie ou des étapes de la méditation, souvent, l’essentiel est tu. L’ingrédient principal est caché.

Il y a quelques années, j’ai rencontré un homme à qui j’ai enseigné la programmation au secondaire. Je m’en souvenais très bien. C’était une matière facultative. Mais un choix qu’il n’assumait aucunement. Il s’amusait et ne produisait rien malgré une grande capacité de compréhension et de créativité. Après de multiples tentatives pédagogiques –notes dans l’agenda, cours de rattrapage, remontrances, valorisation, apprentissage par les pairs–   sans succès, je lui ai finalement dit quelque chose comme : « D’accord ! Tu ne veux pas apprendre, alors à partir de maintenant je cesse d’essayer de t’aider. Je te rends entièrement responsable de ta réussite. Il n’y aura aucune sanction. Tu peux t’amuser durant toutes les périodes où tu te trouves dans mon cours. C’est toi qui décides si tu veux un échec ou un succès. »

Il ne se rappelait pas de la matière. Toutefois, ce que je lui avais dit a changé son comportement. Il m’a raconté avoir été sous le choc car personne ne lui avait jamais parlé de responsabilité. Il a découvert qu’il pouvait donner un sens à son choix. Et il a commencé à remettre ses créations à temps. Apparemment, « la vraie affaire » a fonctionné comme un déclencheur.

Terrible sentier

26 lundi Jan 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in philosophie, recherche de sens

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altruisme, convalescence, nature, philosophie, temps

sentierC’est un sentier qui serpente à travers les arbres dénudés en hiver. Noir sur blanc.  J’ai l’impression de le marcher depuis toujours. On l’appelle le Petit sentier car il est parallèle, à travers bois, au chemin principal suivi par la majorité. Après une convalescence recluse dans la maison, je décide que ma santé mentale nécessite une sortie. Je m’arme de mes deux cannes de marche, de mes crampons et de mon courage. Me voilà dans mon élément.

Une amie m’a conseillée de faire le tour du bloc i.e. du pâté de maisons. Ça ne me convient pas du tout. Les amateurs de nature me comprendront.

Donc, de peine et de misère, je réussis quand même à clopiner à peu près le quart de la distance totale que je parcours en vingt minutes et cela en une heure. Sur mon retour, je rencontre quelques chevreuils, bien sûr, des dizaines d’écureuils et de mésanges à tête noire. Une silhouette masculine se dessine et s’avance vers moi. Je me tasse, par politesse, pour le laisse passer sur ce chemin étroit. Il me regarde et me dit cette phrase éculée que j’ai entendue mille fois au cours de ma vie : « Respirez par le nez ». Dans un éclair de lucidité, j’en ai enfin compris le sens. L’ego est très fort, vous le savez sans doute. Son existence tient au temps. Dans mon état, je m’en soucie moins. Du temps.

En effet, autour de nous, durant notre conversation à bâton rompue, autour de nous les gens s’affairent. Ceux qui veulent maintenir la forme rognent sur leur heure de lunch en joggant, les nouvelles mamans poussent leur landau avec bébé au pas de course, les mémés et les pépés font leur exercices physiques recommandés. Autrement dit, tous coursent contre la montre. Malheureusement, le temps est  immuable et immobile. La course n’a pas lieu d’être. Cet homme, rencontré sur ce sentier, est devenu, l’espace du temps présent, un maître. Un maître n’est pas quelqu’un qui enseigne. Il est celui qui vit.

 

 

Crac !

05 mardi Août 2014

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, recherche de sens, voyage

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convalescence, liberté, voyage

lueurCrac ! Une blessure à la cheville. Déchirement inattendu au début d’un voyage. Par la force des choses, une immobilité s’impose assorti d’un poignant sentiment de perte de liberté. Loin de chez moi et privée de ma mobilité habituelle je vis dans l’attente de la guérison. Qui tarde à poindre. Les activités prévues tombent une à une. Je prends conscience que je chéris mon agir comme un trésor. Soudain, je capitule. Mon esprit cesse de vouloir retourner vers une condition de vie inexistante pour le moment. J’accepte cet abandon forcé. Loin du monde réel des relevés bancaires, des visites obligatoires, des pourriels, des convocations inutiles, des combats légitimes qui se transforment en sales petits conflits, je jouis de mon état. Je me laisse porter par le vivant.

De retour, j’avais changé et je le sentais. Comme devant une porte close depuis des lustres, si vous décidiez de l’entrouvrir, ne serait-ce que d’un mince filet et que vous y jetiez un oeil, vous ne pourriez plus jamais oublier ce  que vous y avez aperçu. Un pinceau de lumière apparaît. Je suis encore en convalescence. L’attente pour moi n’est plus synonyme de passivité mais d’apaisement. Elle me permet d’être à l’écoute de mon for intérieur plutôt que de me perdre dans le forum extérieur. Sommes-nous vraiment obligé de subir un crac pour atteindre cet état ?

 

La solitude, un art perdu

24 jeudi Avr 2014

Posted by Atelier Papier d'ART in isolement existentiel, liberté, philosophie, recherche de sens, voyage

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curiosité, liberté, philosophie, solitude

soloCertains événements de ma petite enfance ont fait de moi une solitaire. Malédiction ou bénédiction ?  Entre autres, lors d’un cours de danse auquel mes parents m’avaient inscrite, en milieu de session, je me souviens d’une bribe d’expérience de pensée extraordinaire. En les voyant pratiquer un enchaînement de mouvements que j’ignorais, l’idée m’est venue sous forme de questions : les autres pensent-ils comme moi, la même chose et en même temps ?  Je ne comprenais pas comment ils connaissaient toutes ces choses que j’ignorais. Je me suis sentie privée de quelque chose ! Comment faisaient-ils pour savoir sur quel pied danser ? Je me sentais différente et non connectée aux autres. Je me suis donc assise au milieu de la ronde, immobile, les yeux fermés.  De perdue, je me suis trouvée. Évidemment, c’est devenu un sujet de plaisanterie au sein de ma famille. J’avais beau m’expliquer, mes mots étaient traduits dans leur langage. Un acte de trahison de plus. J’ai compris que je n’appartenais à personne et que cette structure familiale m’était imposée.
Donc, je les évitais car je me sentais souvent en déséquilibre en leur présence. Je perdais mes moyens. Je ne restais pas jointe à moi-même. Comment, dans ces conditions, prendre du plaisir à rester en liens avec eux ou avec les autres ? Je me retirais pour me sentir en paix avec moi. Lorsque je débarque dans un pays inconnu, c’est-à-dire dont je ne connais pas bien la langue ni les codes de vie, la soumission à des rôles préétablis s’allège.  Et cela donne un sens à mes voyages et à mes escapades en solo. Il en ressort un sentiment de liberté et d’authenticité. D’accidentelle, la solitude est devenue une alliée permanente, nécessaire et fidèle. D’autant plus qu’elle est vitale pour n’importe qui aspirant  à l’autonomie. Comme la révolte, qui est aussi une manière de sortir d’une structure aliénante. Je pense que plusieurs problèmes de dépendance sont reliés à la surimposition de règles et d’occupation du temps que notre société nous oblige à respecter sans possibilité de fuite ou de rébellion. Et comment passer sous silence l’éperon formidable pour l’imagination que constitue la solitude ! Pour moi, de malédiction, elle est devenue bénédiction.

Sentiment d’impuissance

24 lundi Mar 2014

Posted by Atelier Papier d'ART in philosophie, recherche de sens

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choix, corps, méditation

le bonheur.JPGDes conflits, il s’en produit tous les jours. Le pire est celui qui a lieu à l’intérieur de nous lorsque deux forces égales s’opposent. Nous devenons prisonniers, paralysés, incapables de choisir et d’agir. Nous nous sentons impuissants. C’est la plus incapacitante des situations pour un être humain. Si cela perdure, une grande souffrance en découle. Je sais que je dois faire quelque chose et les autres me renvoient cette idée de passer à l’action et la renforcent ignorant presque tout du processus. Je me véhicule dans un régime inférieur, je veux changer de vitesse et j’en suis incapable. Ma vie n’a plus de sens parce que je suis privé de moi-même. L’absence d’intérêt marque le début de la dépression.

Pour passer à un régime supérieur, il faut faire un saut qualitatif. Je ne saurais trop vous recommander l’opuscule de Jean François Billeter Un paradigme. L’eau qui bout fait un saut qualitatif pour passer à l’état de vapeur. Durant un certain temps, dans le récipient, il semble ne rien se passer. Puis, tout d’un coup, changement d’état. Ce laps de temps se compare à celui de faire le vide. Jusqu’à temps que la décision et l’action à entreprendre deviennent aisées. Tout d’un coup, une porte s’ouvre et le sentiment de puissance avec sa prise sur le réel revient. S’asseoir, méditer, contempler, se taire, contribuent à laisser agir le corps. Un espace de  solitude est hautement curatif. La quête devient accueil. Le miracle s’accomplit.

Engagement

10 lundi Mar 2014

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, philosophie, recherche de sens

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choix, fatigue décisionnelle, philosophie, procrastination

héliographieLa plupart de des êtres humains se posent des questions sur le sens de l’existence mais ne sont aucunement prêts à assumer les réponses. Combien de fois vous arrive-t-il de dialoguer avec une personne qui pose une question de fond, que vous ayez un indice de réponse à partager avec elle mais que cette dernière change de sujet ? Un virage à 180 degrés. Souvent avec des signes anodins : changement de regard, remarque sur une automobile qui passe ou sur le goût du café. Vous savez que votre réponse n’a plus de valeur. La question qui semblait si importante devient une garniture de la vie. Nous pouvons croire que c’est de la procrastination ou de la fatigue décisionnelle. En fait, c‘est un engagement avorté. 

Le besoin inscrit dans toute conscience de donner un sens à sa vie est systématiquement dévié. C’est devenu un réflexe conditionné et renforcé par de multiples déceptions dont la nature est de ne pas tenir ses engagements envers la personne la plus importante et avec qui on a fait le plus de promesses : soi-même. Certains se réveillent un matin et décident de prendre leur vie en mains tandis que d’autres ne croient plus en leur capacité de faire des choix. Il est bon de savoir que le cerveau est malléable à n’importe quel âge et que l’image que nous avons de notre moi est une fabrication de l’esprit.

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