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Atelier Papier d'ART

~ Tout sur le papier artisanal

Atelier Papier d'ART

Archives de Tag: liberté

Envol

07 dimanche Août 2016

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté

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convalescence, corps, liberté, procrastination

l'envolAprès presque 2 ans de convalescence, de perte d’énergie et de procrastination obsessive, je me sens prête à prendre mon envol. Ce qui m’apparaissait comme une perte de temps a été l’occasion d’un changement pour ne pas dire un chambardement dans ma vie. Les derniers mois ont été entrecoupés de périodes insomniaques peuplés de rêves nocturnes d’impuissance et de chute, parfois cauchemardesques.
J’ai commencé à jeter du lest. Étant donné notre position verticale, la gravité terrestre est un facteur que nous devons sans cesse combattre si nous voulons garder l’équilibre. Un de mes problèmes, à cause d’un accident, est justement l’équilibre. J’ai donc décidé de m’y attaquer en priorité. Ce travail physique sur mes os a déteint sur le plan social, émotif et psychologique.
En observant la façon dont fonctionne mon corps, je suis plus en mesure de connaître ses besoins. Malgré la faiblesse de ma cheville, mes mouvements sont plus fluides et engendrent moins de douleur. Particulièrement pour la marche. Se centrer sur les besoins du corps devient un entraînement pour se connaître soi-même. À mesure qu’on apprend à se connaître, on se laisse moins avoir, on se sent moins piégé.
Que ce soit dans mes nouvelles ou dans mes œuvres plastiques, l’angoisse de la liberté et le vertige de la légèreté, ont souvent été représentés par des ailes. Le lâcher prise. Et son contraire, l’assujettissement au regard de l’autre, par exemple, par des serres, des liens ou des chaînes. Parfois les deux symboles existent.
À quoi servent les grandes ailes si on s’agrippe ? Ne vaut-il pas mieux se délester des poids morts et se préparer à utiliser les ailes que nous possédons déjà ?
Entre les deux, j’ai réappris à marcher.

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Et si on essayait d’être lucide ?

27 mercredi Jan 2016

Posted by Atelier Papier d'ART in information, liberté

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éducation, liberté

luciditéLors de l’émission Banc public diffusée le 19 janvier 2016, il y était question d’un homme qui a des hallucinations auditives depuis l’âge de 17 ans provoquées par la schizophrénie : Richard Breton. On y apprend comment la thérapie par avatar l’a aidé à mieux les gérer.

Dans le film Un homme d’exception, le personnage de John, joué par Russell Crowe, est schizophrène et William est issu de son imagination. Toutefois, après un séjour à l’hôpital et avec l’aide de sa femme, il réussit à gérer ses hallucinations.

Dans son livre le plus connu, L’homme qui prenait sa femme pour un chapeau, Oliver Sacks, neurologue, y décrit des affections rencontrées chez ses patients. C’est un recueil sur la merveilleuse faculté d’adaptation du cerveau humain.

Les hallucinations continuent d’exister. On enseigne aux patients le détachement i.e. à ne pas croire tout ce que leur tête leur raconte. Ces exemples sont extrêmes. Nous pouvons tous en tirer un bénéfice. Récemment, j’ai vécu une suite d’événements traumatisants qui m’ont rendue très vulnérable aux pensées destructrices. L’effet de ces pensées destructrices est qu’elles sont suivies d’une trainée qui défigure notre paysage émotionnel. Les conséquences en sont bien connues : incapacité d’agir, inadéquation interpersonnelle, accident, maladie et j’en passe. Puisque notre réalité n’est pas le Réel, en prendre conscience est un acte de lucidité. Je me suis dit que si ces personnes ont réussi à ne pas se laisser envahir par leurs pensées, je devrais pratiquer cette distanciation.

Depuis quelques temps, j’ai l’impression de retrouver ma liberté et… peut-être encore plus.

 

Sortir des rails

01 dimanche Nov 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, philosophie, poésie

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choix, liberté, poésie

méditationLe réel est souvent difficile à affronter. L’ego a souvent tendance à le compliquer pour contrôler ce qu’il perçoit comme une menace. Au lieu de nous véhiculer avec légèreté à travers la vie avec une pleine conscience, nous traînons de lourds concepts qui ralentissent notre mouvement et deviennent des boulets. Nous devenons imperméables à l’inattendu, aux changements de direction, à l’imprévisible. Les anglophones utilisent une expression qui décrit bien ce phénomène : one mind track. C’est suivre les rails sans pouvoir en dévier.

Je veux faire l’éloge de la dispersion, du détournement et de l’inachèvement. Souvent, en improvisant dans la création de mes œuvres plastiques, je fais une erreur. Cependant, en répétant celle-ci, j’en fais une tehnique qui m’appartient. Autrement dit, je gère mes erreurs au lieu d’en avoir peur. Pourquoi est-ce si différent dans le fonctionnement de la conscience ? L’engrenage de l’ego semble bloquer l’improvisation. Errer, c’est être prêt à accueillir le hasard en prenant le risque de s’égarer. De même, lorsque j’écris de la poésie, je pige dans la langue française comme dans une source de sons, en toute liberté, pour en faire des chants qui me parlent.

Trop c’est comme pas assez

18 mardi Août 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in information, liberté, philosophie

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bonheur, choix, fatigue décisionnelle, liberté

motscroisésVoici quelques affirmations qui sont acceptées comme véridiques dans nos sociétés occidentales : plus on a de choix, plus on a de liberté ; plus on a de liberté, plus on est heureux ; la publicité nous bombarde de slogans comme « Venez acheter chez nous car nous vous offrons plus de choix ! » sous-entendu, vous nagerez dans le bonheur.

Avez-vous essayé d’acheter un téléphone cellulaire qui permet seulement de faire des appels ? Impossible ! Il y a un nombre incalculable de modèles qui offrent une pléthore de fonctions et d’applications. Et cela sans compter que vous devrez choisir votre fournisseur. Cela peut peut paralyser temporairement votre capacité de choisir. Sauf si vous savez exactement ce que vous voulez. J’ai déjà parlé du deuil que nous faisons de toutes les autres options lorsque nous prenons une décision. Plus il y en a, plus l’incertitude s’installe. Ai-je fais le bon choix ? Vais-je le regretter ? Est-ce vraiment cela le bonheur ?

Récemment, à l’épicerie, un consommateur était ébahi devant plus de 175 sortes de vinaigrette. Quant à moi, je ne savais pas que maintenant nous avons accès à plus de 40 dentifrices différents. Ces petites décisions de la vie courante ne portent pas trop à conséquence. Qu’en est-il lorsque, malade, nous allons consulter un médecin qui, au lieu d’utiliser son expertise, nous remet le choix du  traitement entre les mains ? Nous avons une vision partielle de la panoplie de traitements. Cela crée une angoisse qui n’améliore pas l’état du malade. Le cerveau n’en peut plus. Il va au plus simple i.e. qu’il se met en mode automatique. Il prend une décision, pas nécessairement la plus adéquate, et ensuite il s’invente une raison pour la justifier. On appelle cela la cécité du choix.

Pour en savoir plus, je vous conseille la lecture de Le paradoxe du choix : comment la culture de l’abondance éloigne du bonheur de Barry Schwartz.

Peut-on changer de vie ?

21 dimanche Juin 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, philosophie, recherche de sens

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corps, fatigue décisionnelle, liberté, temps

mystèreMaladie. accident grave, rupture, héritage ou gros lot de Loto-Québec, voilà des imprévus qui peuvent ouvrir une porte à un changement de vie. Peut-être pas. Ça dépend de notre faculté à changer d’attitude. Il y a plusieurs années, une première convalescence m’a permis de transformer ma quête en accueil. Ce fut un point tournant dans l’écoulement de mes jours et surtout de mes nuits peuplées d’épisodes insomniaques. Le temps passait dans la lenteur et la paix. Le monde extérieur me semblait s’éloigner avec son agitation. Tout passait par le corps. Mises entre parenthèses de mon travail, du ski, du vélo et des longues randonnées jusqu’au tremblement des jambes. Puis, la guérison arriva. Ce fut l’occasion de donner plus d’ampleur à ma carrière artistique, qui, jusque là, se jumelait à un emploi à temps plein dans le monde de l’éducation. Je ne pouvais plus cumuler les deux.  Mon entreprise, l’Atelier Papier d’ART, devint ma principale activité. Une brèche s’ouvrait dans mon emploi du temps. Je devins intervenante en situation d’urgence, je repris mes activités sportives avec plus de fougue et j’augmentai la fréquence de mes escapades vers d’autres cieux.

Et voilà que ce coup du sort récidive. Cette fois, la mise entre parenthèses sera définitive. Je réoriente encore ma vie. Un beau matin, je prends conscience que la  responsabilité de ce qui m’arrive s’est muée en réceptivité. Ce qui consiste à être prête à saisir les opportunités qui en découlent et toute la nouveauté qui s’y rattache. Pour le moment je laisse le corps me guider. C’est une période de EMC. Une rupture dans l’histoire de mon identité. Se pointe déjà un autre sens de l’existence. Je n’ai pas besoin de disparaître sans laisser de traces pour refaire ma vie ailleurs. Ma principale liberté se trouve ici dans une plage de temps solitaire que je me réserve pour reprendre mon souffle.

« La vraie affaire »

29 vendredi Mai 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, philosophie, recherche de sens

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éducation, choix, liberté

1 et 0Que nous parlions de recettes de cuisine, de méthodologie du travail intellectuel, de techniques de psychothérapie ou des étapes de la méditation, souvent, l’essentiel est tu. L’ingrédient principal est caché.

Il y a quelques années, j’ai rencontré un homme à qui j’ai enseigné la programmation au secondaire. Je m’en souvenais très bien. C’était une matière facultative. Mais un choix qu’il n’assumait aucunement. Il s’amusait et ne produisait rien malgré une grande capacité de compréhension et de créativité. Après de multiples tentatives pédagogiques –notes dans l’agenda, cours de rattrapage, remontrances, valorisation, apprentissage par les pairs–   sans succès, je lui ai finalement dit quelque chose comme : « D’accord ! Tu ne veux pas apprendre, alors à partir de maintenant je cesse d’essayer de t’aider. Je te rends entièrement responsable de ta réussite. Il n’y aura aucune sanction. Tu peux t’amuser durant toutes les périodes où tu te trouves dans mon cours. C’est toi qui décides si tu veux un échec ou un succès. »

Il ne se rappelait pas de la matière. Toutefois, ce que je lui avais dit a changé son comportement. Il m’a raconté avoir été sous le choc car personne ne lui avait jamais parlé de responsabilité. Il a découvert qu’il pouvait donner un sens à son choix. Et il a commencé à remettre ses créations à temps. Apparemment, « la vraie affaire » a fonctionné comme un déclencheur.

LA question

02 lundi Fév 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, philosophie

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choix, liberté, temps, vie quotidienne

encaustiqueQu’y avait-il avant le Big Bang ? À mon avis, le Big Bounce n’est pas une réponse valable. C’est tourner en rond. Qu’y avait-il avant le Big Bounce ? J’ai une admiration sans borne pour les esprits scientifiques qui essaient de résoudre ce mystère.

Toutefois, je me doute que nous n’avons pas encore un cerveau développé suffisamment pour appréhender la réponse. Par contre, nous savons intuitivement que le passé et le futur ne pouvaient exister. Nous en revenons donc à la puissance du présent. Nous avons bâti une illusion : le temps. C’est utile pour la vie collective, les RDV, le travail, la planification, les transports et un tas d’autres activités considérées comme essentielles.  Pour retrouver la liberté perdue, nous savons que la clé est le moment présent. Notre plein potentiel se trouve dans l’instant du choix. Par exemple, dans Malaise dans la Civilisation, Freud observe que dès l’invention de la hache l’homme a égaré la liberté de ne pas s’en servir. De même pour l’invention du temps lorsqu’il nous pourrit la vie quotidienne.

L’assujettissement au temps et à la compulsion de l’accomplissement individuel nous fait manquer l’occasion de vivre une autre existence à chaque intervalle infinitésimal que nous passons dans le cosmos.

Empiètement

12 lundi Jan 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté

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liberté, paresse

sablierVoici une histoire d’empiètement de terrain.  Au début, la confiance règne.  Puis petit à petit, de façon furtive et imperceptible les nouveaux voisins envahissent votre bout de terre. Votre aire de liberté diminue. Vous voilà confiné dans un terrain de jeu de plus en plus restreint. Il s’en suit une multitude de procédures, formulaires, procès, discorde, stress et j’en passe. Cela aurait pu être évité avec un minimum de vigilance dès le départ.

J’ai pensé faire un rapprochement avec notre propension à meubler nos heures de liberté, pourtant déjà maigres, avec des obligations qui finissent aussi par nous pourrir la vie. Changer de voiture, de maison, de téléviseur, d’ordinateur, augmenter les assurances, multiplier les abonnements, voyager plus, maximiser les vacances, être heureux, oui, vous avez bien lu, c’est un devoir de nos jours,  suivre la mode, avoir raison, devenir meilleur, augmenter le revenu, être en forme, faire de l’exercice, avoir des loisirs organisés, donner naissance à des enfants et empiéter aussi sur leurs jours et sur leurs nuits : tout cela est lié au gavage consumériste. Cela déteint sur nos relations sociales. Certains en colorent même leur vie amoureuse. Ici, la vigilance a une alliée sûre : la  paresse !

Hélas ! Nous ne sommes pas des victimes, nous sommes des complices…

Temps et langage

02 vendredi Jan 2015

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, philosophie

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liberté, philosophie, temps

Présentement, je vis une situation qui me demande de sortir du déni, d’accepter le changement et de m’y adapter. Le passé m’apparaît comme un poids lourd. C’est facile de penser que les périodes tristes deviennent une chaîne à la longue. Au moment du renoncement, les réussites, les bons coups et les accomplissements le deviennent paradoxalement aussi. La femme de Loth regarde en arrière, et devient une colonne de sel. Une indication pour vivre dans la présence au monde.

Le sable s’écoule. les aiguilles tournent ou les deux point clignotent. C’est ce mouvement qui nous donne l’impression que le temps passe. Comme le disait Ken Bruen : « En réalité, le temps ne passe pas. C’est nous qui passons. » Nous n’avons qu’à regarder des photos de notre visage à différents âges… ou seulement notre reflet dans le miroir. Le langage n’est pas neutre. Il influence nos pensées.

C’est une drogue très puissante. On n’a qu’a se rappeler le duo placebo et nocebo. L’expression, le temps passe, nous fait croire qu’il y a un passé, un présent et un futur que nous voyons comme trois moments  sur lesquels nous avons du pouvoir. Certains s’accrochent à leur succès passé et pleurent sur leur pertes actuelles. D’autres culpabilisent sur leurs erreurs. Quant au futur, certains passent leur vie à s’y préparer sans jamais passer à l’action tandis que d’autres le craignent, ce qui les paralyse.

Nous oublions que le seul instant sur lequel nous pouvons être là, c’est maintenant. Bien sûr, le passé laisse des traces et le futur nous aiguille. Le langage place ces trois facettes dans une vision intégrale. Et l’esprit humain aussi. Nous confondons le temps avec les événements qui s’y déroulent. Cependant, Einstein disait que le Maintenant possède quelque chose d’essentiel que la science ne peut appréhender. C’est notre seul intervalle de liberté.

Crac !

05 mardi Août 2014

Posted by Atelier Papier d'ART in liberté, recherche de sens, voyage

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convalescence, liberté, voyage

lueurCrac ! Une blessure à la cheville. Déchirement inattendu au début d’un voyage. Par la force des choses, une immobilité s’impose assorti d’un poignant sentiment de perte de liberté. Loin de chez moi et privée de ma mobilité habituelle je vis dans l’attente de la guérison. Qui tarde à poindre. Les activités prévues tombent une à une. Je prends conscience que je chéris mon agir comme un trésor. Soudain, je capitule. Mon esprit cesse de vouloir retourner vers une condition de vie inexistante pour le moment. J’accepte cet abandon forcé. Loin du monde réel des relevés bancaires, des visites obligatoires, des pourriels, des convocations inutiles, des combats légitimes qui se transforment en sales petits conflits, je jouis de mon état. Je me laisse porter par le vivant.

De retour, j’avais changé et je le sentais. Comme devant une porte close depuis des lustres, si vous décidiez de l’entrouvrir, ne serait-ce que d’un mince filet et que vous y jetiez un oeil, vous ne pourriez plus jamais oublier ce  que vous y avez aperçu. Un pinceau de lumière apparaît. Je suis encore en convalescence. L’attente pour moi n’est plus synonyme de passivité mais d’apaisement. Elle me permet d’être à l’écoute de mon for intérieur plutôt que de me perdre dans le forum extérieur. Sommes-nous vraiment obligé de subir un crac pour atteindre cet état ?

 

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